COMPTE
RENDU DES TRAVAUX AU LOCAL DU SCMNE A COURNIOU
Date : Vendredi 2 novembre
2012
Rédacteur de la fiche :
Patrick Cabrol
Participants : 3
Patrick Cabrol
Jean-Piere Scanzy de Labastide
Alain Scanzy de Labastide
Lieux : Local du SCMNE à
Courniou
Temps de travail : 9H45 à
17H15 (déjeuner rapide : une demi-heure)
But : Préparer l’ensemble
ds deux salles de la partie Est du local pour le coulage de la dalle
béton prévue le vendredi 8 novembre.
Descendre le niveau du sol 10 cm
au-dessous du niveau actuel de la dalle située en première partie
de la pièce
Travail réalisé :
Lors de la dernière séance de travail
nous avons laissé le chantier après une bonne journée de travail à
5 participants mais le résultat souhaité était très loin d’être
atteint. La tache était lourde. C’est pourquoi j’ai fait appel à
deux copains de Saint-Amans-Soult que je savais particulièrement
efficace pour ce type de « grands travaux » pour nous.
Les résultats ont été très largement à la hauteur de la tache à
réaliser. Au fur et a mesure de l’avancée de la journée je
voyais le but se rapprocher avec grand plaisir. Après un repas fait
de saucisses grillées dans la cheminée, une bouteille de vin et un
un pack de 6 bières pour trois pour la journée (nous avons été
très sage !). Le chantier était fini et répondait à la
commande de Pascal de disposer d’une niveau suffisant pour couleur
la dalle. Ceci n’a pas été sans quatre aller-et retour à la
décharge de Saint-Pons pour déposer la terre et les gravats, sans
oublier le dépôts de nombreux cailloux (pierres à bâtir) le long
de la façade du club et le remplissage d’une autre remorque à
porter à Saint-Pons le samedi matin.
Nous avons passé un long moment avec
l’ancienne douche qui avait du être faite pour soutenir une pile
de pont ! Elle mesurait un mètre sur un mètre, avec au moins
20 centimètres d’épaisseur en bon béton plein de gravier.
C’était le travail d’un serieux maçon qui habitait là avant
que le club achète sa maison/ Il devait avoir peur de passer (ou sa
femme !) à travers le fond de la douche. Elle ne risquait rien
(et même si cela avait été un éléphant !). Il ne saura
jamais le mal que nous avons eu à la démolir après avoir foré une
bonne quarantaine de trous de 10mm avec la perforatrice Hilti, un
sciage du bloc au milieu, dans toute une longueur, l’assaut avec le
marteau piqueur Hilti. Il fallu quand même utiliser par deux fois de
la charcuterie fine avant de pouvoir le finir à la masse grâce aux
efforts de nos deux copains de Saint-Amans qui en avaient les gouttes
sur le visage.
En fin d’après midi le chantier
était propre et répondait à la demande de Pascal. On s’en
souviendra !
Les résultats de cette journée sont
largement dus au travail de Jean-Pierre et de Alain.
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