samedi 27 avril 2024

https://www.google.com/maps/place/D%C3%A9nivel%C3%A9+Positif+-+D%2B/@43.4895519,2.3753658,3a,75y/data=!3m8!1e2!3m6!1sAF1QipO2r-cPMlEarSwviWsS1d6ozfu43GU0RZrwWJ3i!2e10!3e12!6shttps:%2F%2Flh5.googleusercontent.com%2Fp%2FAF1QipO2r-cPMlEarSwviWsS1d6ozfu43GU0RZrwWJ3i%3Dw222-h100-k-no!7i3264!8i1468!4m9!3m8!1s0x12ae1994368333bb:0xff833b1239917eec!8m2!3d43.4895737!4d2.3755582!10e5!14m1!1BCgIgAQ!16s%2Fg%2F11vs29y44h?hl=fr?utm_source%3DGoogleMaps-fr&entry=ttu

MAZAMET

Dénivelé Positif - D+ (nom du magasin)

Petit magasin sympa ; au départ spécialisé dans le trail et la randonnée, mais on trouve aussi du matos d'escalade et on peut tout commander question matos de spéléo. Les prix me paraissent très corrects. Aujourd'hui j'ai acheté du matériel pour les ancrages etc. j'ai eu droit à 10% de remise club...

Le gars qui s'occupe des ventes (patron ?) est très gentil.

vendredi 26 avril 2024

SORTIE AUX VERRERIES-DE-MOUSSANS - 18 avril 2024

Rédacteur : Pascal
Localisation : Les Verreries-de-Moussans
Participants : 3 SCMNE, Maïwenn, Cléa, Pascal.
But : Technique de descente et de remontée et exploration de l’Aven de la Frescure.
Durée : 8 heures
 
Aven de la Frescure
 
 

RDV est donné à 9h00 du mat au local.

Toujours la même chose : petit tour des explications concernant la cavité à explorer, récupération du matos qu’on charge dans les voitures et c’est parti pour les Verreries-de-Moussans…

Depuis la dernière fois où nous avions passé plus de temps à chercher l’entrée qu’à explorer la grotte, cette fois je retrouve direct l’endroit où se situe la ligne qui mène à l’entrée de l’aven. Julien a bien calculé son coup en laissant le repère où il faut !

Descente du versant très raide… ça glisse, on « luge » (néologisme), on se rattrape aux arbres ici et là et les kits bourrés de matos jusqu’à la gueule sont particulièrement chiants à transporter…

Pas beaucoup d’eau dans le ruisseau : cool, on ne se mouillera pas les pieds !

L’entrée est juste là, à quelques mètres de l’eau, et une fois escaladé le petit pentu de terre/feuilles nous commençons à défaire les kits…

Le courant d’air dans le boyau d'entrée est violent…

Équipement de la main courante jusqu’au ressaut donnant directement dans les deux puits ; en fait, on se retrouve à cheval entre les deux et la place pour s’y loger est étriquée… Je descends en premier afin de les guider et aussi pour mettre en place les mains courantes où se longer…

La petite descente est un peu compliquée parce que le ressaut démarre sur une étroiture, donc, de la position assise il faut se retourner ventre au sol pour passer…

Maïwenn arrive, je guide ses pieds et il se cale où il peut au bord du P15, et c’est au tour de Cléa de descendre…

J’équipe la tête de puits.

Le baudrier vérifié, MAVC, mousqueton du descendeur, et Maïwenn descend… - « LIBRE ! » ; c’est au tour de Cléa ; protocole des vérifs, et Cléa s’enfonce dans le vide, et à mi-descente j’entends un - « WHAOU !!! ». Je souris…

On se retrouve tous en bas et entreprenons la descente du petit P6 très étroit… Cléa commence à avoir froid ; juste en t-shirt sous la combi (?) – heureusement que j’ai prévu un second polaire qui se trouve dans le kit ; je connaissais assez la cavité pour connaître son courant d’air très froid. Cléa renaît ! Puis un boyau, puis une étroiture verticale, une autre étroiture, un méandre aux pierres noires, galerie boueuse, Cléa peste lorsque ses pieds s’enfoncent dans la gadoue, elle glisse, une fois, deux fois... (je ne suis pas le seul à cracher des crapauds !) Puis passage là et par ici. Parfois, nous nous perdons un peu, mais retrouvons rapidement la suite jusqu’à atteindre la grande salle… Le siphon au bas de la salle s’est rempli depuis la dernière fois. L’eau est verte ; c’est joli ! Puis dans l’espèce de bauge là, dans le sol argileux et tassé, nous décidons de nous restaurer. Nous avons ce qu’il faut pour repartir le chargeur à calories plein ! Au bout de 15 min, nous reprenons l’escalade de la salle ; et ça monte, ça monte, ça monte… puis nous perdons nos repaires ; surtout les miens. Nous convenons de bien mémoriser par où nous passons. Nous atteignons des éboulis, nous nous faufilons entre de gros blocs et nous escaladons encore et encore, parfois ça descend pour remonter de plus belle. Puis nous arrivons dans une « salle verticale » très haute. Une corde pend depuis un ancrage à 7 mètres peut-être. Nous montons au Croll et poignée (le maillon rapide de l’ancrage est grave pourri), ça part sur la gauche, nous nous y engouffrons… Maïwenn semble infatigable ; dès qu’il y a un passage il fonce, regarde de partout… D’ailleurs, depuis la grande salle, il est en tête de groupe… Les deux n’ont aucun problème avec les passages les plus ardus. Tandis que J’ai beau avoir la topo en tête, je n’arrive pas à situer où nous sommes. Au bout d’un certain moment, alors que ça continue, vu l’heure, nous décidons qu'il est temps de revenir en arrière…

Maïwenn s’en sort bien pour retrouver le chemin de retour malgré des passages chaotiques…

La remontée au jumar se fait également sans problème ; ils ont bien intégré la technique du précédent entrainement. Cléa a même des prédispositions pour la corde ; elle s’éclate !

Quant à la remontée du versant, elle est assez épique, ça nous achève les petits muscles…

Au côté des voitures laissées sur le bas-côté de la route, nous nous changeons, et direction le local. Là, nous buvons une bière, Cléa de l’eau, mais à son habitude se tape toutes les chips ; faut pas avoir peur de lui arracher le paquet des mains sinon tu n’en vois pas la couleur ! … Nous échangeons nos impressions. Ils adorent, et ils sont bons !

On se salue et reprenons nos routes respectives.

Une fois chez moi, je donne à manger aux chats, mais le CR ce sera pour plus tard ; les courbatures arrivent…

Tête de puits à 3 ancrages ! (car celui du milieu bof !)

Maïwen


Cléa






Miam (gaffe aux chips elle mange tout !)


Une corde quelque part dans les hauteurs...

Remontée...

 

mercredi 24 avril 2024

Samedi 20 avril : les lotois débarques à St-Pons

Rédacteur : matthias
Localisation : grotte du lauzinas
Participants : 11 Bernard, Jean-Luc, Cathy et le Groupe des Spéléologues Immatures du Lot
But : interclub sur le site classé
Durée : 6h30
 compte rendu :
Après avoir eu quelques démêlés avec les clés du local et le cadenas de la trappe, les lotois finiront par enfin visiter le Lauzinas et ils en redemandent tant qu'ils feront le grand tour des champignons aux sapins d'argile en passant par les lacs. Le lendemain, ils profitent de la région en allant faire du vélo, de la rando ou de la terrasse selon les envies. Un weekend qui laissera de beaux souvenirs dans la tête comme dans les portables. Merci à J-Luc pour les photos transmises
 
 



mardi 23 avril 2024

SORTIE COURNIOU - 15 avril 2024

Rédacteur : Pascal
Localisation : Courniou
Participants : 2, Pascal, Héléna.
But : Technique de descente et de montée et mise en application à la grotte de La Croix. 
Durée : 2 heures et 4 heures

 

Hélène vient d’intégrer le club du SCMNE.

Après une première petite sortie dans une grotte du coin je me suis dit qu’il fallait rapidement montrer aux « arrivants » les premières techniques de descentes et montée sur corde ; techniques obligatoires car même les grottes horizontales auront toujours un petit ressaut à descendre quelque part dans ses entrailles…

Le mur derrière « La Devèze », où le club avait l’habitude d’entrainer les louveteaux, sera idoine pour Héléna. Ce n’est pas une véritable verticale mais tellement pentu que cela y ressemble… 8/10 mètres.

J’équipe les lignes de vie, la corde de descente (en double) à l’arbre, et l’on se met à étudier le descendeur…

Tout va pour le meilleur, la Héléna comprend vite et c’est parti pour une première descente, puis deux, puis trois, puis technique de la clé de sécurité… et encore quelques descentes…

Et c’est le moment de passer aux remontées au jumar ; là aussi tout se passe bien 10/10…

Retour au local ; la Héléna est toute euphorique ; elle a adoré les descentes… Grisant !

Discussions sur les choses de la vie.

Je reste pour grignoter quelques calories

Hélène retourne chez elle

RDV vers 14h00

Et c’est au moment où j’allais m’endormir sur le canapé que la Hélène se pointe…

On prépare le matos et direction la Grotte de La croix…

J’équipe l’entrée

Mise en pratique de l’apprentissage du matin : tout se passe à merveille ; descente du premier petit ressaut/puits et du deuxième un peu plus profond…  Petite balade dans la partie aval puis dans la partie amont… Observation des lacs (Je constate que le niveau de l’eau du secteur aval est bien descendu depuis la dernière sortie).

Lorsque nous arrivons au terminus de l’amont voilà que la Héléna veut se faire à tout prix une étroiture, un truc bien ardu qu’elle veut ! Ok ; je l’emmène au boyau des « clowns » ; moi je ne passe pas, mais comme la Natacha, Lili, Michael et sa sœur Charlotte sont passés ; je ne m’inquiète donc pas de l’envoyer dans le claustro… Ben elle rentre là-dedans pareil que si c’était un jeu ; c’était d’ailleurs un jeu pour elle… Demi-tour au fond de la petite salle, elle ressort en transe, comme défoncée par un mélange d’adrénaline et d’endorphine… Elle n’en revient pas de son exploit, on dirait qu'elle vient de rencontrer Dieu, moi je souris…

 - « J’y retournerais bien encore une fois, dix fois même ! qu’elle me sort. (On se calme, je pense en me marrant).

La remontée se déroule aussi parfaitement.

Au local, Hélène repart chez elle chercher deux 1664.

Elle est encore sous effet euphorique, elle n’en revient toujours pas d’avoir accompli tout cela…

Puis nous parlons tatouages…

 










 

 


lundi 22 avril 2024

Nettoyage de la grotte de Lacalm (AIGUEFONDE) - 20 avril 2024

 

Rédacteur : Thomas
Localisation : Aiguefonde
Participants : Thomas SCMNE et plusieurs personnes de l'association des jardiniers du parc du Haut Languedoc
But : Nettoyer la Grotte de Lacalm et les chemins de la commune d'Aiguefonde.
Durée :2 heures
 
 
L'association des jardiniers du parc du Haut Languedoc avait organisé une journée nettoyage des chemins de la commune d'Aiguefonde. Le point de départ était alors la grotte de Lacalm.

En tant que membre de SCMNE, je me suis affecté au nettoyage de la dite grotte. En effet, j'avais pu remarquer il y a quelque temps beaucoup de déchets au fond de la galerie des chauves-souris et surtout dans le niveau inférieur.

Avec quelques membres de l'association des jardiniers, nous commençons alors le nettoyage dans la galerie des chauves-souris. Beaucoup de plastique brûlé et de canettes de bière.

J'enchaine ensuite avec le nettoyage de la partie supérieure. Je remarque alors un passage au fond de la grotte marqué "G1" qui semble désobstrué par rapport aux précédentes venues.

J'avais pris mon casque + frontale. Je rentre alors dans ce passage qui semble être une galerie fossile. Il semblerait que des personnes aient commencé un travail de désobstruction. La galerie en méandre s'enfonce d'une quinzaine de mètres dans le calcaire.

Je dois arrêter ma progression car je ne suis pas bien équipé pour ramper et le passage se rétrécit fortement en hauteur. Je remarque une cheminée naturelle qui remonte verticalement sur 4-5 mètres.

Je passe au nettoyage du niveau inférieur de la grotte, là où coule l'eau. Il y a des déchets vraiment partout et c'est vraiment scandaleux. Je ramasse le tout. Je remarque au fond de ce niveau, un passage étroit qui a déjà dû être exploré mais qui donne envie d'aller plus loin.

N'étant pas équipé, je dois renoncer. Remarque importante : l'ensemble des passages de grotte semble être balisé par des "G + numéro".

A la fin du ramassage, nous buvons un coup devant la grotte. Un des membres m'explique qu'un monsieur, ayant participé à ce nettoyage, connaît parfaitement toutes les sorties de la grotte car il l'a exploré durant sa jeunesse en fond et en large.

Impossible de le retrouver, il était déjà reparti chez lui. Je sais qu'il habite à Calmon et qu'il fait partie du conseil des sages d'Aiguefonde. Je n'aurai pas de mal à le retrouver pour le questionner.


 

 

 

jeudi 4 avril 2024

SORTIE 1er Avril 2024 – AVEN DE LA FRESCURE. Hérault.

 

Rédacteur : Pascal.
Localisation : Les Verreries-de-Moussans
Participants :  SCMNE : 5 : Loïc, Charlotte, Thomas, Julien, Pascal.
But : Faire une initiation dans une petite verticale d’un aven
Durée TPS : 3 heures.
 
 Lien vidéo
 

En fait, nous avions perdu deux grosses heures à retrouver l’entrée de l’aven. Entre la marche sur le bord de la route, les descentes et remontées du versant très haut et très pentu menant au talweg, la séparation du groupe en deux pour effectuer la recherche en opposition… C’est Loïc qui repère l’entrée avec ses « rails » soutenant l’énorme bloc du dessus d’au moins une demi-tonne…

 

Loïc montre à Julien les fondamentaux du descendeur et du jumar ; corde nouée autour de l’arbre d’à côté. Pour ma part, je sors toutes les cordes et je commence à équiper le boyau d’entrée. Plaquette sur Spit (il aurait été mieux qu'il y eut un deuxième ancrage en tête de main courante). Et je trouve que la plaquette que j’avais alors installée proche de la bouche du ressaut a été « trifouillée » (?)…  Mais je tire dessus ; c’est costaud.

 

Descente du ressaut pour me retrouver sur l'éperon séparant les deux puits. La config est très curieuse… Pendant ce temps je place des lignes de vie tous azimuts, car il va falloir tous tenir autour de l’éperon rocheux où de chaque côté s'ouvrent les puits. Loïc laisse passer Julien entre lui et moi de manière à ce que je puisse orienter sa descente du ressaut et où mettre les pieds, parce que ce n’est pas évident pour quelqu’un qui est sur sa deuxième sortie spéléo… Mais il fait ça très bien le Julien ! Il se longe immédiatement sur une des lignes de vie avant de défaire son descendeur et il se cherche une petite place où se caler ; ensuite descendent Loïc, Charlotte, Thomas…  Entre-temps j’ai équipé la tête du puits et là aussi je constate qu’un Spit récent en inox ressort un peu (Placé il y a 15 mois peut-être) ; cela m’inquiète, mais lorsque je place la plaquette dessus je secoue un peu tout cela en tirant aussi avec le poids de mon corps et ça ne bouge pas. Je relierai quand même les deux ancrages à un troisième autour de l’éperon rocheux, là, il ne pourra rien arriver… Par contre pas de nœud de fusion sinon ça déporte la corde sur une arrête et no good… Ce sera des nœuds de 8, ce qui est très bien. Une fois équipé c’est Loïc qui va descendre en premier pour réceptionner tout le monde -il s’était entrainé au pont déjà tout un après-midi et maitrise et a bien assimilé les protocoles de sécurité.

 

Je sais que cela n’est pas le puits Lépineux, mais aucun d'eux n’a jamais descendu une vraie verticale… Donc, un P15 pour commencer ce n’est pas mal quand même… J’ai d'ailleurs prévu et laissé en haut des échelles souples au cas…

 

Loïc entreprend la descente. Très calme ; il se marre et disparait en bas.

 

Au tour de Julien : petite explication sur le frein, etc., vérification du mavc, et de la virole du mousqueton descendeur, tout est en ordre et il s’enfonce lui aussi dans le puits.

 

Au tour de Charlotte : bagatelle pour elle, comme si elle avait fait cela toute sa vie (elle est quand même descendue et a remonté les grands pentus de la Trayolle et de La Croix), mais là, « zssssss, » pas de frein, descente pratiquement d’un trait… quelques secondes plus tard, elle touche le fond.

 

Puis Thomas pareil, la descente ne lui pose pas de problème, mais est saccadée à cause d’un trop gros freinage. Je constate que la corde de 10,5, bien sèche, freine effectivement un peu trop, il est préférable d’enlever le mousqueton de freinage.

 

Une fois au bas du puits, c’est la descente sans corde du deuxième petit puits qui est en partie équipé de deux marches en inox et ils remontent. Si nous n’avions pas perdu plusieurs heures à chercher l’entrée, nous aurions pu avancer beaucoup plus loin, mais certains ont un emploi du temps peu flexible et il faut remonter…

 

Loïc remonte en premier pour réceptionner tout le monde. Il a rapidement intégré la coordination des mouvements. Julien aussi remonte sans problème ; étonnant pour quelqu’un qui fait ça pour la première fois de sa vie ! Je pensais qu’avec lui il y aurait des petits blèmes de coordination au démarrage, que cela prendrait plus de temps, mais non ; comme une lettre à la poste !

 

Thomas, lui, a un peu plus galéré, les bras fatiguaient vite… ce qui est normal (je l’ai vécu). Lorsque les mouvements et la coordination ne sont pas parfaits, on a tendance à trop forcer sur les bras et ils fatiguent vite avec cette sensation désagréable qu’on ne va plus pouvoir avancer et les peurs qui peuvent se faire sentir… Bah, suffit de s’assoir dans le baudar et se reposer quelques secondes, voire quelques minutes, et reprendre la montée par petites étapes. Ce que fera Thomas. Mais même avec une bonne technique cela reste assez épuisant de remonter au jumar sur de grandes longueurs.

 

Bref, une fois tout le monde sorti ; reste Loïc et moi où nous déséquipons puis sortons à notre tour…

 

Il y a bien eu un petit orage alors que nous étions encore dedans à mettre les cordes dans les kits, mais une fois dehors tout est redevenu cool ; sauf la remontée du versant qu’on avait l’impression de gravir l’Everest ! Julien et mézigue avons dû marcher encore plus loin pour récupérer ma caisse : En tous les cas, cela aura été aussi la journée cardio ! Très bon pour le cœur, tout ça ! Les chips et les bières nous tueront probablement, mais pas la spéléo !

 

 

Remontée

Descente

 

Le Spit qui ressort ! (Mais il ne bouge pas)

  A revoir certains ancrages.