COMPTE-RENDU DE LA FÊTE
DE LA GROTTE
SAMEDI 2 JUILLET 2016
Rédacteur : Patrick CABROL
Lieu : Courniou – Grotte
de la Devèze ou de « la Fileuse de Verre ».
Participants : Le club
est super motivé pour cette journée de fête. Nous sommes... 20 du
club !!!
Denis, Marièle et Joël Matarin
Claude et Suzanne Raynaud
Matthias Loiseau
Patrick Cabrol
Didier et Yolande Evrad
Chrystel Mazenc
Tristan et Joëlle Chataigner
Alexandre Dumont et Jeanne Lacroix
Alain et Florence Cabrol
Jean-Pierre et Alain Scanzy
Mathieu Ferran
Avec Mikael du Spéléo-Club de
Narbonne et de l’AMES qui nous a rejoint
Ainsi que Charles Bourreley qui est
arrivé de Paris en fin de journée
But : Fête de la grotte de
la Devèze ou de « La Fileuse de Verre »
Durée : Début à midi et
fin, tard dans la nuit pour certains !
Compte-rendu :
Après les efforts, le
réconfort !... Cette année c’est la mairie qui a tout
organisé en collaboration avec le club et c’est vrai que cela nous
a bien aidé puisque nous n’avions rien fait en 2015, faute de
« personnel » disponible.
A midi nous nous
retrouvons tous pour l’apéritif, au bar de l’accueil de la
grotte. Il y a Foule !
A treize heures nous
passons à table avec un repas préparé par l’association locale
« Les Bouhétaires dal Soumal » qui a servi 96
repas, avec au menu :
. Salade et ses
bougnettes grillées
. Jambon de porc cuit au
feu de bois
. Haricot vert
. Croustade
. Café
Ce repas fut une belle
réussie avec un jambon succulent, des haricots verts parfaits, ne
parlons pas de la salade et du dessert ... un vrai régal!
Pendant que nous mangions
nous avons eu le droit à une démonstration de slackline, avec deux
« acrobates » qui marchaient sur une sangle de 30 mètres
de long tendue à 10m au-dessus du sol.
Wikipédia nous indique
que : La slackline (de l'anglais « ligne lâche ») ou slack
est une pratique sportive récente s'apparentant à première vue au
funambulisme. Elle s'en distingue cependant clairement par
l'utilisation d'une sangle élastique en polyester, ainsi que par
l'absence d'accessoire de type balancier et d'une absence de
stabilisation de la sangle. La sangle utilisée, appelée "slack",
est tendue entre deux ancrages (tels qu'arbres, poteaux, points
d'ancrage d'escalade…) à l'aide d'un système de tension
facilitant sa mise en place (cliquet, mousquetons ou poulies). Cette
facilitation permet la pratique en milieu naturel ou urbain, voire en
intérieur. Cette polyvalence a joué un rôle significatif dans
l'essor de la slackline, encourageant le « slackeur » à adapter la
discipline selon ses préférences (highline, waterline, rodeoline…).
La nature élastique
et dynamique de la slackline invite à y progresser en équilibre,
mais aussi à y réaliser d'innombrables figures utilisant le rebond,
ce qui la rapproche d'un trampoline long et étroit. Ce sport est lié
aux pratiques de l'escalade, du surf, du snowboard, du longboard, ou
des agrès de gymnastique, et peut aussi être utilisé comme moyen
de concentration.
Vous savez tout au
presque, maintenant il faut essayer ! Afin de nous faciliter la
tâche les organisateurs avaient tendu une petite stackline à 50
centimètres du sol avec une autre corde au-dessus afin de pouvoir se
tenir. Beaucoup ont essayé et se sont bien amusés, quant à rester
sur la slack c’est une autre paire de manche !!!!
Durant ce temps une autre
attraction avait été installée par le club le matin, sur le
parement de la cours de l’ancienne gare afin de permettre la
descente sur corde avec un descendeur sur une dizaine de mètres de
haut.
Nous avons eu beaucoup de
succès, surtout avec les jeunes de l’école de Courniou qui, pour
certains, sont descendus 5 fois... ils auraient bien continué s’ils
avaient pu. Ils ont été une bonne dizaine garçons et filles à
réaliser cette action, le plus jeune avait 7 ans et le plus âgé 12
ans… Ce sont peut-être de futurs spéléos pour le club!
A force de persévérance
les enfants ont réussi à persuader leur maitresse de faire l’essai
à son tour, suivit de deux mères des enfants présents. Elles l’on
fait ! Tout le monde fut ravi de cette attraction. Nous avons
aussi permis à trois handicapés de descendre, pour l’un c’était
sa première expérience de sport, ce fut donc une réussite pour lui
et ses éducateurs.
Nous avons arrêté à
19H30, presque par épuisement de l’encadrement.
Nous nous sommes alors
replié sur le local du club où 15 d’entre nous ont partagé un
bon repas pour la troisième mi-temps. Cela faisait plaisir de se
retrouver « chez nous » après les efforts réalisés
pour remettre les lieux en état.
PHOTOS : SCMNE - 11 premières Patrick - les dernières Denis.
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