Sortie à la grotte du
Lauzinas
Samedi 26 novembre 2016
Rédacteur de la fiche :
Matthias Loiseau
Date : samedi
26 novembre
Localisation :
grotte du Lauzinas – Commune
de Saint-Pons de Thomières – Hérault
Participants : 6
Accompagnateurs :
Bernard Lafage
Matthias Loiseau
Groupe
Géode 66 :
Christophe Levillain
Denis Boix
Nathalie Dumoulin
Greg Gothscheck
But : guidage de
visiteurs sur le site classé
Durée : 8h
Réalisation :
Comme j'étais le seul à pouvoir ouvrir le local ce samedi, j'arrive
pour une fois un quart d'heure en avance, mais je suis quand même
le dernier ! Bernard a laissé un mot sur la porte, il est déjà
à l'entrée du trou (il y a dormi) et les invités sont bien au
chaud garé devant le local.
Petit débarquement de nourriture au local, et on file au Trou de la
Vigne avec une équipe bien réduite : seulement quatre
survivants sur huit inscrits.
On est équipé devant la plaque dès 10h30. En haut de la grande
échelle, je teste un éclairage qu'un ami m'a prêté et les 1000
lumens éclairent la grande salle comme jamais je ne l'ai vue avec
les tristes 14 LED Petzl des années 2000.
Les invités n'ayant pas prévu les bottes, on décide de partir du
coté des Champignons. Une première pause repas s'improvise devant
un gour très en eau.
Le groupe m'abandonne dans la galerie basse qui semble saupoudrée de
neige, ils reviennent des Champignons plus d'une heure plus tard au
moment où je termine de photographier l'extrémitée de la galerie
avec des gours fraîchement remplis d'eau cristalline. Seconde pause
déjeuner à l'endroit où on avait abandonné certains sacs. Comme
on est en avance, on décide d'aller au Lac au Écho en bifurquant
sur la gauche. On s'arrête au Lac sous la Grande Salle au passage,
les longues fistuleuses sur le plafond parfaitement horizontal
impressionne ceux qui le découvre pour la première fois.
Dernière séance photo pour Christophe qui est sérieusement équipé.
Malheureusement, l'apport récent d'eau a troublé le bleu profond
habituel, mais l'écrin est toujours aussi charmant.
On ressort à la nuit tombée sous une fine pluie semblable à celle
du matin. Heureusement que la spéléo est un sport de « pleine
air » qui ne craint pas le mauvais temps.
PHOTOS : SCMNE - Matthias
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