Rédacteurs : Pascal Hernandez
Date : Samedi 1er juin 2019
Localisation : Le Reclot -commune de Labruguière
Participant(s) : 2, Jean Bourrely et Pascal Hernandez
But : voir les 3 départs au bas du puits et éventuellement topographier une partie de la grotte.
Durée sur le terrain : approximativement 4 heures
Lien pour vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=2OfVv1sPYQ0&t=455s
14h00
Le temps que jean prenne des points topographiques extérieurs
avec son nouveau jouet : un Disto X2 modifié et un smartphone
symbiosé, nous descendons dans le puits d'entrée. L'eau coule moins
que lors de la dernière explo. Je passe le laminoir et commence à
avancer un peu. Pendant ce temps Jean mitraille les parois avec les
petits points rouges du laser. Et nous avançons comme ça, par
tronçon, avec des pauses dans l'eau… (mais l'eau m'est beaucoup
moins froide qu’au trou Eddie). Enfin nous arrivons au méandre où
nous pouvons nous mettre un peu débout jusqu’au puits de la
cascade où le débit me parait moindre (?). Jean lui continue à
pointer tout azimut. Je monte sur le haut du méandre redescends sur
le rebord de la cascade. Le puits franchi, je pause dans la marmite.
Il ne reste qu'à attendre que Jean finisse ses relevés et descende à son tour. Jean observe un départ... |
Le puits de la cascade |
Nous arrivons au bas du puits, explorons deux galeries qui se trouvent en face -une très très étroite au ras du sol et l'autre à 80/100cm dans la paroi. Galeries qui semblent ne mener nulle part sauf une peut-être, qui donne dans une espèce de salle où en hauteur coule de l'eau et d'où on aperçoit un petit départ qu'il faudrait agrandir : quelques mètres vers on ne sait où ? Jean n'est toutefois pas convaincu de l'intérêt pour ces galeries. Par contre le méandre, au ras du puits, sous la marmite, paraît continuer plus loin, semble plus prometteur. Je laisse Jean continuer tout seul; je suis crevé. Il franchit un passage étroit. Puis revient. Il préférerait l'attaque du méandre par en dessous et suivre ainsi le cours de la rivière. Je suis d'accord, mais ça, ce sera pour une autre fois !
On remonte le puits en laissant encore l'équipement sur place. Lorsque je sors du tonneau d'entrée mes bras sont anesthésiés; je ne les sens plus. Jean lui parait frais dispo et filme ma sortie avec son smartphone -il me semble -et il a l’air de se marrer!
Il est 18h00 quand nous retournons sur terre, au chaud, en ce jour de chaleur et soleil...
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