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Eddie disparaît dans le 14 juillet. |
COMPTE
RENDU DU CAMP DE JUILLET 2018
SAMEDI
MATIN 14 JUILLET 2018
Présents :
8
Patrick
Cabrol, Sébastien Mesme, Pascal Hernandes, Jean Bourrely, Eddie
Serre, Philippe Jeannard, Michel Souverville et Jean-Marc Flahaut
Patrick est
à l’ouverture du supermarché de St Pons pour faire les courses. A
son retour il l’agréable surprise de voir que Eddie et Philippe
sont déjà là en train de décharger les plaques de placoplâtre
que vient d’amener Sébastien. Nous allons pouvoir poursuivre
l’isolation du 2° étage. Le camp démarre fort !
A 10H30 Jean
et Pascal arrivent à leur tour. Nous déchargeons la porte fabriquée
par Pascal pour l’entrée de la grotte du Piège à Loup. Nous la
poserons durant le camp.
A 11 heures la première équipe constituée d’Eddie, Philippe, Sébastien et Jean part en surface, motivée, avec l’endoscope, afin de faire une première estimation sur un petit orifice repéré non loin à l’Est du Piège à Loup.
A midi c’est
au tour de Michel et de Jean-Marc d’arriver.
L‘équipe prospection est de retour à 13h après avoir trouvé un nouveau trou aspirant l’air très fortement à l’entrée ; quelques pierres dégagées, et on passe l’endoscope qui montre une suite prometteuse. Il est baptisé le « Trou du 14 juillet ». Non loin, le petit orifice découvert précédemment est également prospecté à l’endoscope, 4m50 de profondeur, une belle faille pleine roche, mais encore un peu étroite. Juste un rocher coincé à retirer et on verra mieux.
Fond du Trou du 14 juillet. |
Présents
: 8
Patrick Cabrol, Sébastien
Mesme, Pascal Hernandes, Jean Bourrely, Eddie Serre, Philippe
Jeannard, Michel Souverville et Jean-Marc Flahaut
Nous formons deux
équipes :
Eddie, Philippe et Patrick
partent au trou du 14 juillet découvert ce matin
Jean, Michel, Jean-Marc et
Sébastien vont au Trou du Piège à Loup
Au trou du 14 juillet le
travail est assez rapide et au bout de 2 Heures Eddie disparaît
entièrement horizontalement dans l’orifice (encore étroit) de la
cavité. Le plat ventre est obligatoire. Au bout de deux mètres il y
a des blocs un peu partout. Nous sommes dans une sorte d’éboulis.
Le courant d’air s’enfile rapidement dans la cavité mais revient
sous l’entrée ce qui ne présente aucun intérêt apparent mais il
faudra peut-être revenir par acquis de conscience car il est assez
bien situé. Dommage nous avons eu le Trou du 14 juillet mais pas le
feu d’artifice final !!!
Une fois ce premier
travail terminé Eddie et Philippe se déplace sur la cavité située
à une trentaine de mètres qui est une sorte de « Puits-Faille »
étroit. Travail aux éclateurs qui ont bien donné. Heureux du
résultat. On voit à 4 ou 5 mètres dessous, une sorte de belle et
large diaclase d’où ce matin le thermomètre laser donnait 15° ce
qui n’est pas normal dans ce secteur. Il est alors possible que
cette cavité se réchauffe en aspirant l’air extérieur c’est ce
nous observons depuis sa découverte il s’agit d’un trou
aspirant : un de plus dans le secteur.
Durant ce temps Patrick
part avec « un ancien » du village (c’est eux qui savent
tout !!!) afin de nous monter des entrées de cavités, de mines
anciennes etc. Il nous mène sur un point historique, celui de la
coloration de Bernard Gèze aux Pertes du Thoré. Tout enfant il
était présent à cet événement historique du club. Il nous
indique un petit trou de 30/40cm de diamètre d’où sort de l’air
froid …. ho bonheur, surtout là où il est situé !!!
Il nous montre aussi plusieurs entrées de mines anciennes de
magnétite… les aragonites du coin ne doivent pas être mal !….
Jean fait visiter la
grotte du Piège à Loup aux trois qui ne la connaissent pas (ils
n’ont pas eu de chance : ils sont partis juste avant la
première !). Jean reste au fond afin de buriner le passage
qu’il veut forcer pendant que les autres se relaient dans la
Galerie Bernadette pour toujours creuser le sol et avancer dans le
sens du courant d’air. Ils ont avancé d’un mètre mais ils ont
effectué un peu de confort pour travailler plus facilement…. A
suivre…
A 20 heures tout le monde
est rentré au local. Douche, et bien sur « apérot »
pour préparer demain.
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Entrée du Trou des Cartouches. |
Présents :
7
Patrick Cabrol, Pascal
Hernandes, Jean Bourrely, Eddie Serre, Philippe Jeannard, Michel
Souverville et Jean-Marc Flahaut
Nous partons
à 9H30 après une bonne nuit de repos surtout pour ceux qui se sont
levés à 4H du matin pour éviter tous les embouteillages.
Nous faisons
deux équipes, une du côté de l’Aven du Cheval et une autre au
trou au Trou du Châtaigner
Patrick,
Eddie, Philippe et Jean-Marc partent vers l’Aven du Cheval avec le
GPS et l’endoscope. Jean-Marc continue seul en prospection autour
de l’Aven du Cheval pendant que les trois autres vont passer
l’endoscope dans une « vieille » cavité du club (merci
les archives et ceux qui les lisent !). Toutes les mesures GPS
du secteur sont reprises car il y avait un écart de 10 mètres sur
deux mesures du même point ce qui n’est pas acceptable. Ceci
arrive quand les satellites sont mal positionnés.
Il suffit
d’attendre 1 à 2 heures pour que tout soit parfait mais ce n’est
pas toujours possible. Aujourd’hui les conditions étaient idéales
puisque l’appareil nous indiquait une erreur maximale de 3,20m !
Une
exploration endoscopique a donc été effectuée dans cette cavité
où nous avons retrouvé deux cartouches de chasse encore chargées
avec du petit plomb. Elles avaient largement dépassé la limite
d’âge et auraient pu rejoindre le musée des objets hétéroclites
retrouvées dans une grotte.
Cette petite
« grotte des cartouches » est intéressante mais il y a
un travail important de désobstruction à réaliser. On y observe
une galerie de direction Nord-Sud comblée à l’entrée avec une
autre galerie qui part dans la direction Est-Ouest caractéristique
du St Ponais. Il y a un léger courant d’air frais très
sympathique… on revient vite pour préciser la suite !
Jean-Marc
fait sa prospection sur les zones de contacts schistes/calcaires et
nous rejoint.
Philippe
suit la barre rocheuse de la grotte des cartouches vers le Nord et
Eddie vers le Sud. Philippe trouve un petit départ légèrement
aspirant de 2 à 3 mètres de profondeur au-dessus de la galerie
trouvée aux baguettes.
Eddie
descend et traverse une zone de buis desséchée de 50 mètres, il ne
trouve rien et revient dans le sous-bois plus vert. Il change de
secteur et va vers le Piège à Loup. Il revient à la voiture puis
repart avec Philippe pour passer l’endoscope dans une petite cavité
face au piège à Loup. Trois mètres et puis rien... Jean-Marc nous
rejoint. Pris au jeu ils prospectent au-dessus et trouvent un petit
départ de puits et un trou de blaireaux, la « grotte de Midi »
et la « grotte de Midi et quart » (on s’amuse comme on
peut !)
Pendant ce
temps, Michel, Pascal et Jean poursuivent l’aménagement des
passages les plus difficiles du Châtaignier. Pour commencer, Michel
veut revoir des galeries inférieures qui lui semblaient pouvoir
aller vers l’aval de la grotte ; mais ce n’est pas le cas et
il rebrousse chemin. Il faut donc bien passer par les étroitures
signalées sur la topographie du club. Mais les morphologies ne sont
pas les mêmes que celles de nos anciens, et non seulement nous ne
passons pas là où ils passaient, mais nous voulons aussi progresser
en sécurité. Le groupe installe donc quelques mains courantes et à
coup d’éclateurs commence à ouvrir un nouveau passage pour
accéder à la galerie inférieure en « shuntant » la
chatière plongeante vraiment trop étroite. Plusieurs séries
d’éclateurs permettent de gagner quelques centimètres, mais pas
suffisamment. Jean passe de l’autre côté par la fameuse chatière
pour aider Michel, mais il faut se résoudre à ressortir pour
rejoindre l’autre groupe et manger.
Retour à
14h du premier groupe et 14H30 du second
Repas avec
blancs de poulets aux giroles, encore merci Michel !
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Philippe dans la chatière du Trou des Cartouches. |
DIMANCHE
APRES MIDI 15 JUILLET
Présents :
6
Patrick
Cabrol, Jean Bourrely, Eddie Serre, Philippe Jeannard, Michel
Souverville et Jean-Marc Flahaut
Ce n’est
qu’à 16 heures que le groupe repart au « travail »
durant ce temps se jouera la finale de la coupe du monde de Football…
nous, on creuse !!!
Pascal doit
nous quitter pour rentrer à la maison afin d’accueillir sa femme
et sa fille. Patrick reste au local pour travailler au second étage
du local et sur son ordinateur.
Les autres
se divisent en deux groupes, Jean et Michel partent à la grotte du
Châtaigner pendant qu’Eddie, Jean-Marc et Philippe remontent au
petit puits trouvé le matin. Un léger courant d’air est ressenti
mais rien ne passe
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Trou des Cartouches : Eddie heureux ! |
Présents :
7
Patrick
Cabrol, Jean Bourrely, Pascal Hernandes, Eddie Serre, Philippe
Jeannard, Michel Souverville et Jean-Marc Flahaut
Il a fait
orage entre minuit et 1 heure du matin, avec de très beaux éclairs.
Ce matin c’est le réveil sous la pluie et il pleut suffisamment
fort pour atténuer les ardeurs de certains ! Une fois le petit
déjeuner pris et la vaisselle faite nous sommes partis en grande
discussion sur ce qu’il faut faire ou ne pas faire ce matin.
Finalement
Jean-Marc part seul en prospection au-dessus de la Rivière Morte en
mettant sa combinaison de spéléo pour ne pas se transformer en
serpillière. Patrick, Eddie, Philippe, Jean et Pascal partent voir
un nouveau trou aux Verreries de Moussans. Le repérage fini, Eddie
et Patrick vont frapper à la porte de la maison voisine afin de
savoir quel est le propriétaire, finalement nous nous retrouvons
avec une nouvelle cavité très intéressante à visiter :
la grotte d la Bicyclette ou la grotte Delphine du nom de celle qui
nous l’a indiqué… Du boulot en plus et des perspectives de
découvertes devant nous !
Nous
déjeunons. Christian et Bernard arrivent à 14 Heures.
![]() |
Trou des Cartouches : une alcôve latérale, dessous ça souffle. |
Présents :
9
Patrick
Cabrol, Jean Bourrely, Pascal Hernandes, Eddie Serre, Philippe
Jeannard, Michel Souverville, Jean-Marc Flahaut,
Arrivée de
Christian Scotto et Bernard Baldacchino à 14H30
Le temps est
meilleur, il ne pleut plus, même s’il fait encore du vent. Il fait
surtout meilleur
Tout le
monde part au Piège à Loup, sauf Patrick qui fait le tour du
cadastre pour connaitre le nom des propriétaires des cavités où
nous souhaitons travailler!
Michel et
Jean-Marc facilitent l’accès du puits d’entrée. Jean part avec
Pascal visiter la cavité et vérifier la prolongation de la galerie
terreuse tout au fond et ne trouvent pas de suite à la grotte. Il
faudrait peut-être y revenir pour insister. Par contre, vers la
marre aux sangliers, ils trouvent à droite une conduite forcée
bouchée par de la terre sur 80 cm de haut et 50 de large. Cet
emplacement est très bien positionné pour une jonction avec la
cavité voisine… ce ne sera pas la Pierre St Martin mais bon... on
jonctionne !
Bernard et
Christian arrivent et nous rejoignent. Jean repart au fond avec
Bernard et Christian pour ouvrir cette conduite forcée. Eddie,
Philippe et Pascal progressent de 2 à 3 mètres, dans la galerie
Bernadette, ce qui permet de voir une suite prometteuse. Le courant
d’air est alternatif après les pluies de ce matin avec une
dominante d’aspiration.
18 H arrivé
de Patrick Jouffret qui rejoint le camp.
Aven de la Roubillade au début de la désobstruction. |
Lever à
7H30 - Le soleil est de retour même si la chaleur n’est pas encore
au rendez-vous, mais cela fait du bien ! Pour le plus chaud on
verra à midi.
Présents :
9
Patrick
Cabrol, Jean Bourrely, Eddie Serre, Philippe Jeannard, Michel
Souverville, Jean-Marc Flahaut, Christian Scotto, Bernard
Baldacchino, Patrick Jouffret.
Plusieurs
équipes se mettent en place et partent dès 9h : Eddie et
Philippe vont au Piège à loup, Michel, Jean-Marc et Patrick J vont
à la Rivière Morte, enfin Jean, Christian et Bernard vont au
Châtaignier.
La première
équipe du Châtaigner est de retour au local vers 13h30. Ils sont
allés directement au bout de la galerie soufflante inférieure et
ont commencé à élargir la galerie surbaissée mais large qui
mènerait à la Rivière Morte. Le travail commence à 10h30 et
environ une heure après un cri est entendu, c’est l’équipe
Rivière Morte qui est en dessous. Ils sont loin, mais bien là.
Quelques mètres sont gagnés, mais il faut ressortir et attendre
pour savoir où se ferait l’hypothétique jonction.
Un quart
d’heure après, c’est Eddie et Philippe qui rentrent. De leur
côté aussi les choses avancent : la galerie aspirante du Piège
à Loup vient de perdre quelques centimètres de hauteur dans la
matinée et la progression peut se poursuivre, beaucoup d’espoir.
Les photos que ramène Eddie sont prometteuses, de belles concrétions
sont à quelques mètres… Encore un effort et ça passe…
Michel,
Jean-Marc et Patrick J. sont les derniers à rentrer. Ils ont établi
le contact au son avec les copains. Ils ont entendu le bruit du
perforateur avant de pouvoir échanger quelques cris mais rien de
plus, pas moyen de se comprendre. Ils se sont même amusés à les
enfumer un peu pour confirmer la liaison. Oui, c’est bien là que
les deux grottes se rejoignent mais il va falloir creuser !!!
Avant de ressortir ils sont partis faire la ballade dans les réseaux
amont et aval où l’eau coulait toujours avec un bon débit, ce qui
est un peu exceptionnel en cette saison
![]() |
Philippe dans la chatière d'entrée de la grotte du Marbre Bleue. |
Présents :
7 puis 5
Patrick
Cabrol, Jean Bourrely, Eddie Serre, Philippe Jeannard, Michel
Souverville, Jean-Marc Flahaut, Christian Scotto, Bernard
Baldacchino, Patrick Jouffret.
Après une
matinée chargée il a fallu un certain temps pour remplir son
estomac et étancher sa soif. Ce n’est donc qu’à 16 heures que
les équipes sont reparties au travail
Patrick C.,
Michel et Jean-Marc partent afin de faire les relevés GPS des
dernières cavités découvertes vers les Verreries de Moussans. Une
fois cela terminé Michel et Jean-Marc repartent chez eux. Déjà un
retour est envisagé pour un nouveau camp en aout.
Eddie et
Philippe repartent à l’assaut de leur galerie aspirante au Trou du
Piège à Loup... il parait qu’il manque environ 50 cm à élargir
pour passer, cela motive !!!! Ils reprennent le chantier à
16H30 avec le burineur pour faire sauter les plaques de roche. Ils
avancent une dizaine de mètres. Derrière ils se trouvent allongés
dans un large laminoir qui fait un grand demi-cercle avec un départ
de ce qui semble être un méandre vers l’est mais très étroit.
Vers l’ouest, un méandre descend entre les blocs plus ou moins
calcifié sur 2 à 3 mètre. La progression s’arrête sur une
petite alcôve, dans une zone qui semble proche de la surface car on
y trouve des os et des coquilles d’escargots. La fumée se disperse
dans les blocs et formes d’anciennes galeries démantelées ou
effondrées Toutes les affaires sont rangées et les recherches
doivent maintenant se focaliser sur la zone de travail de Jean ...
mais sans enthousiasme. Il resterait aussi à vérifier le fond de la
galerie terreuse après la coulée de calcite.
Jean,
Christian, Bernard et Patrick J. vont à l’aven de la Roubillade et
tentent une descente dans une entrée très étroite et verticale.
Jean descend le premier et sera le seul à tenter l’expérience. Au
fond il découvre un éboulis sur le sol sans aucune trace de terre,
en pente vers le sud. Il est à environ 5 mètres sous l’entrée.
Pas de courant d’air, il est un peu déçu et décide de remonter.
Bernard est obligé de l’aider avec un moufflage, aidé de Patrick
et Christian, car il coince de partout malgré sa taille de
« guêpe ». Finalement il ressort « un peu
fatigué ». Le groupe décide de descendre alors dans la grotte
de la Roubillade. Christian reste dehors sur le trou souffleur situé
en contrebas de la cavité. Les trois autres descendent dans la
première salle et refond entièrement l’exploration menée
auparavant afin de voir si quelque chose a échappé aux
prédécesseurs. Le groupe est agréablement surpris de la beauté
des salles. Un toboggan amène à une deuxième salle au milieu d’un
labyrinthe et ils font la jonction avec Christian resté à
l’extérieur, avec la voix, puis avec un petit caillou messager
d’une jonction réussie.
![]() |
Grotte Marbre Bleue. |
Lever à
7H30. Il fait un super beau soleil
Présents
7
Patrick
Cabrol, Jean Bourrely, Eddie Serre, Philippe Jeannard, Christian
Scotto, Bernard Baldacchino, Patrick Jouffret.
Départ de
tout le groupe à 9 heures.
. Jean,
Patrick J. et Bernard vont au trou Delphine : il descend bien,
mais toutes les galeries vont en direction de la rivière ce qui ne
présente pas grand intérêt. Il y devrait y avoir une arrivée côté
montagne, mais rien de visible. Il faudrait peut-être vider la salle
d’entrée pour voir plus clair, mais ce sera pour « plus
tard » !
. Eddie,
Philippe et Christian vont au trou de la carrière bleue. Température
de l’entrée 11° alors qu’il fait 30° dehors.
Philippe
rentre directement et les deux équipes agrandissent ensemble le
passage afin de laisser la place au reste du groupe. Christian puis
Eddie descendent à leur tour. Philippe s’engage dans une sorte de
diaclase étroite et progresse de 3 à 4 mètres vers l’Est. Il est
rejoint par Eddie et le burineur. Le passage étroit est agrandi donc
en direction de la montagne. Progression de deux mètres. Arrêt sur
un remplissage terreux qui vient du plafond. Christian descend en
direction de la rivière (a sec) dans un méandre à forte pente
(60°) et arrêt sur un remplissage de cailloux avec un gros bloc
entre 4 et 5m de profondeur. Eddie vient voir et ne remarque rien de
plus. Ils y découvrent une vielle barre à mine dans une
anfractuosité. Il a fallu batailler pour la décoincer... Leger
courant d’air. Cela recoupe les anciennes explo du club dans ce
secteur
Arrêt avec
regret mais il faudra réfléchir car c’est un trou intéressant et
bien placé.
Jean, Eddie
et Philippe changent de secteur et vont voir les cavités
désobstruées par le club l y a une dizaine d’années et reprises
par Jean-Marc et Claire il y deux ans.
![]() |
Marbre Bleue : "passe moi le burineur que j'agrandisse". |
Présents :
7
Patrick
Cabrol, Jean Bourrely, Eddie Serre, Philippe Jeannard, Christian
Scotto, Bernard Baldacchino, Patrick Jouffret.
Départ du
local à 14H30
La première
équipe composée de Eddie, Philippe et Christian vont aux Verreries
de Moussant afin de reprendre le Trou déjà désobstrué par le club
il y a une bonne dizaine d’années.
Ils ont
travaillé dans l’entrée du bas et mesurent 8°C pour 26° à
l’extérieur, avec un bon courant d’air bien rafraîchissant
Christian
part au fond et à 3 m sous l’entrée il note un départ de galerie
en anse de panier avec une impression de fort courant d’air. Une
quinzaine de bidons sont ressortis ainsi que des gros blocs.
Résultats pas probant, perte du courant d’air. Du coup ils
descendent dans la cavité jusqu’à 15 à 20 mètres, avec des
ressauts, des blocs coinces laissant des petites salles. Au fond
Philippe trouve la roche en place, un départ de puits de trois à
quatre mètres de profondeur, est bouché par des lames d’érosion
qu’il faudrait enlever. Nous n’avons pas les outils pour,
remontons…
Nous
appelons Jean Marc le soir même, il a fait la topo du trou il y a
quelques années. Il lui semble avoir descendu ce fameux puits, les
souvenirs sont vagues. Les lames rocheuses sont-elles tombées entre
temps ? Nous nous renseignerons un peu plus avant de retourner
travailler au milieu de tous ces blocs !
La deuxième
équipe avec Jean, Patrick J, Bernard remonte le vallon de Font
D’Abram jusqu’aux mines de fer. Ils vont ensuite visiter la
grotte du Four à Chaux afin de se mettre au frais ! Dehors il
fait plus de 30° et le temps est TRES lourd.
Après une
journée de fournaise des nuages noirs montent depuis la mer. Un
orage se déclenche à 19h… Nous sommes heureux… Il pleuvra
jusqu’à 22 heures !!!
Désobstruction dans le Piège à Loup. |
JEUDI
MATIN 19 JUILLET
Le
grand beau temps est de nouveau de retour
Présents :
7
Patrick
Cabrol, Jean Bourrely, Eddie Serre, Philippe Jeannard, Christian
Scotto, Bernard Baldacchino, Patrick Jouffret.
Deux équipes
se forment :
Grotte des
Cartouches avec Eddie et Philippe
Grotte de la
Rivière Morte avec Jean, Christian et Patrick J.
Le « groupe
des Cartouches » rentre à 13H30 après avoir fait un peu de
prospection autour. Ils ont bien apprécié de partir à la fraiche.
Philippe qui avait découvert un petit trou en amont du sentier où
une cavité avait été détectée aux baguettes de sourcier, tente
une petite désob pour voir. Eddie prospecte au-dessus pour retrouver
à cavité ouverte il y a longtemps. Pas de succès aux recherches
sauf petit un trou soufflant légèrement en amont. Le trou ouvert en
amont se solde par un échec, pas d’air, trous entre les blocs.
Le but
principal est de casser un pont rocheux qui empêche la progression
au fond de la galerie. Le courant d’air est légèrement soufflant.
La roche résiste fortement aux assauts, c’est un beau calcaire
blanc, veiné bleu et rouge. La massette enlève un maximum
d’aspérité afin de permettre à Philippe de se glisser au fond de
la galerie IL prend quelques photos de l’alcôve qui est derrière
(à bout de bras) il serait possible d’y faire demi-tour. Le repas
attend ; ils descente et veulent revenir l’après-midi avec
les éclateurs.
Le groupe de
la Rivière Morte arrive à 15H15… affamé. Ils étaient
partis pour équiper en sécurité certains passages de la Rivière
Morte, mais le perforateur ne les a pas soutenus, il fume, pétarade
et il leur a fallu se résoudre à ne rien mettre en place comme
équipements. Le groupe part en direction du « ventre de la
baleine » pour explorer la galerie qui rejoint le Châtaignier.
Le ruisseau coule encore bien, mais s’interrompt à la bifurcation
et disparaît dans les évents. Jean descend dans le puits en
direction du Châtaignier, c’est très étroit et il faudra élargir
l’entrée. En avançant à reculons, il finit par arriver dans une
zone plus large et peut se retourner pour explorer une galerie
légèrement remontante et qui a exactement la forme de celle
observée côté Châtaignier.
Philippe dans les grands boulevards du Piège à Loup. |
Présents :
Patrick
Cabrol, Jean Bourrely, Eddie Serre, Philippe Jeannard, Christian
Scotto, Bernard Baldacchino, Patrick Jouffret.
Trois
groupes se forment cet après-midi.
. Eddie et
Philippe partent trou des Cartouches. Avec pour objectif de tout
élargir aux éclateurs. Il faut 15 minutes de montée… il fait
CHAUD !!! Le travail aux éclateurs démarre immédiatement,
petit repos d’un quart d’heure car c’est fatiguant (la
bière serait la bienvenue) . Finalement Philippe passe sans y
laisser sa combinaison Il agrandit ensuite un peu la chatière de
par-dessous (le calcaire est très dur !!!) finalement Eddie passe
après Philippe qui a découvert une petite rotonde de 2 à 3 m à
45°, concrétionnée. Un départ semble descendre entre les blocs,
gravats et autres d’où s’échappe un léger courant d’air
aspirant, le tout sous un plancher stalagmitique qui recouvrait le
tout. Ça sent bon il faudra revenir même s’il y aura du gros
boulot. A suivre !!!
. Jean,
Patrick J. partent au Trou du Renard.
. Christian
et Bernard décident faire du tourisme à St Pons après une matinée
fatigante.
Au Trou du
Renard, une saine fraicheur et un bon bain à 11° permet à Patrick
J et Jean de finir de laver leur matériel encore boueux. La descente
dans les blocs d’entrée doit se faire précautionneusement, mais
elle en vaut la peine : tout le long de la balade, le grondement
est tel qu’il est pratiquement impossible de s’entendre à 2m de
distance. Au bout de 2h, les deux promeneurs ressortent et retrouvent
l’ombre des arbres, mais aussi les moustiques, les chenilles et
autres bestioles … on est toujours mieux sous terre.
![]() |
Entrée du Trou Delphine ou de la Bicyclette. |
Présents :
Patrick
Cabrol, Jean Bourrely, Eddie Serre, Philippe Jeannard, Christian
Scotto, Bernard Baldacchino, Patrick Jouffret.
Pour cette
dernière journée de camp, nous rangeons le local, coup de balais,
serpillière etc.. afin de le laisser aussi propre en sortant que
nous souhaitons le trouver en rentrant !
Une fois ce
travail fait Jean, Patrick J et Philippe décident d’aller se
rafraîchir quelques instants dans la grotte du Four à Chaux, petite
promenade de santé avant le retour à la maison sous une prévision
d’alerte orange pour les orages.
![]() |
Philippe dans la résurgence du Thoré. |
Présents :
Patrick
Cabrol, Atik Bouwahdadi
Pour finir
le camp Atik et Patrick sont de corvée de bois pour cet hiver. Nous
avons déjà entre 3 et 4 stères qui sèchent chez Claude et
Suzanne. Nous en ajoutons encore un peu aujourd’hui avant de
refaire une grosse coupe d’ici peu. Nous souhaitons passer l’hiver
au chaud !
![]() |
Perte n°1 du Thoré normalement à sec à cette date. |
Malgré
l’investissement des équipes, nous n’avons pas pu suivre
totalement les objectifs fixés faute de temps et de l’avancé des
découvertes, Certains objectifs sont à reprendre pour les prochains
camps :
. Grotte
Dyson : Il faut poursuivre au fond de la
cavité et dégager la pierre qui nous bloque dans la diaclase à
gauche
. Trou
« Nomane » :
A reprendre en passant au-dessus selon la proposition de Patrick
Jouffret afin d’éviter de prendre le plafond sur la tête. Dans
cette zone « un peu secouée ! »
.
Aven de la Roubillade
qui a été ouvert durant le camp et qui mesure au maximum 5 m de
verticale pour une entrée TRES étroite. Nous avons un tas d’éboulis
au fond, il faudrait revenir voir ce que l’on peut en faire. Jean
n’a pas vu grand-chose et il n’y a pas de courant d’air.
.
Le Trou du 14 juillet
– Peu d’intérêt – On abandonne
. Grotte de
la Roubillade : Bien que cette cavité soit connue depuis 50 ans
il faudrait sécuriser l’entrée, ce qui n’a jamais été fait.
Il faudrait enlever les blocs présents au niveau du conduit
d’entrée.
. Grotte
des Cartouches : on a passé l’endoscope
au bout de la petite désobstruction réalisée durant le camp. C’est
très intéressant et doit être repris rapidement. Les prospections
faites autour de cette cavité n’ont rien données à ce jour, ce
qui est bien dommage. L’avantage principal est que la roche y est
bien massive ce qui est bon pour la sécurité mais elle résiste
bien au burineur ce qui est moins amusant !
.
Les triplés :
Nous n’avons pas eu le temps d’y venir mais c’est à ne pas
oublier.
. Grotte
Larquet. Nous n’avons pu venir y
travailler, mais c’est un objectif important à garder même s’il
s’agit d’une désobstruction demandant de la main-d’œuvre (5 à
6 personnes !)
.
La grotte du Piège à Loup :
La galerie qui absorbait le courant d’air est terminée. On se
retrouve dans une zone de type karst démantelé, sans doute proche
de la surface et de la résurgence fossile désobstruée lors du
dernier camp. A niveau de la « Mare aux sangliers » une
petite galerie remontante à été creusée. Il y aurait sans doute
plus de chance dans la galerie terreuse pour avancer plus vers l’Est
.
Le petit trou face au Piège à Loup,
l’endoscope a permis de pénétrer dans une cavité très étroite
(30 x 20 cm) sur une longueur de 2,5m. La cavité souffle et c’est
bien placé. Ce sera à reprendre avec comme premier travail
d’enlever le gros bloc d’entrée.
.
Le Trou de Midi, et le
Trou de Midi et Quart,
sont à garder en mémoire, car la zone est bien karstifiée et il
n’y a rien de connu dans ce secteur.
Le trou
de la carrière du marbre bleu ou Trou
de la barre à Mine est vraiment très bien
placé, mais il nous a un peu déçu car la galerie « principale »
descend vers le Thoré, or nous souhaiterions trouver une galerie qui
s’en éloigne pour aller en plein massif. Il faudra sans doute
revenir et regarder de façon plus approfondie cette petite grotte.
C’est un gros chantier pas facile à mener car c’est étroit, en
revanche il est exceptionnellement bien placé.
Le « Trou
Delphine » ou « Trou
de la Bicyclette » est aussi très bien
place mais nous a aussi déçu car en bas du puits d’entrée nous
avons une petite salle de quelques mètres carrés mais les trois
galeries qui en partent vont toutes vers la rivière et non vers la
montagne. Quelque chose doit nous échapper à cet endroit et il
faudra revenir. L’idéal serait de déblayer totalement la salle
d’entrée pour voir ce qui s’y passe à ce « nœud »
de circulation des eaux.… encore des bras !!!
Les deux
trous des Pertes du Thoré :
Cette
ancienne désobstruction qui doit avoir 15/20 ans, reprise il y a
deux ans, est intéressante mais pas évidente. Le trou du bas
descend profond, sans doute au niveau de la rivière. Il présente de
belles lames d’érosion. Au fond il semble y avoir encore un petit
puits à ouvrir. Dans le trou supérieur il n’y a que de la terre à
enlever, la seule difficulté est la présence d’une faille ouverte
sur 1 à 1,5 m au-dessus. Il risque donc d’y avoir une zone
instable à passer. C’est très dommage car il y a vraiment le très
gros réseau à trouver derrière.
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Grotte du Châtaignier : ouverture d'une chatière aux éclateurs. |
Environnement :
Chiroptères :
Pour le deuxième camp consécutif nous n’avons pas vu une seule
chauve-souris voler devant le local au coucher du soleil…
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Michel dans la grotte du Châtaignier. |
PRESENCE AU CAMP DU
SAMEDI 14 JUILLET AU DIMANCHE 22 JUILLET 2018
SAMEDI 14 07
|
Dimanche 15 07
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Lundi 16 07
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Mardi 17 07
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Mercredi 18 07
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Jeudi 19 07
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Vendredi 20 07
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Matin
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Apr-Midi
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Matin
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Apr-Midi
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Matin
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Ap-Midi
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Matin
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Ap-Midi
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Matin
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Ap-Midi
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Matin
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Ap-Midi
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Matin
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Jean
BOURRELY
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Patrick
CABROL
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OUI |
Eddie
SERRE
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Philippe
JEANNARD
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Patrick
JOUFFRET
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n
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n
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Michel
SOUVERVILLE
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Jean-Marc
FLAHAUT
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Christian
SCOTTO
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n
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n
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n
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n
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Bernard
BALDACCHIONO
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n
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Pascal
HERNANDES
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Sébastien
MESME
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n
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Atik
BOUWAHDADI
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n
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n
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n
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n
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n
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n
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n
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n
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n
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Total des
demi-journées
|
6
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6
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7
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6
|
7
|
9
|
9
|
7
|
7
|
7
|
7
|
7
|
7
|
Total
|
94
|
Demi- journées
|
Soit 47 jours cumulés de camp.
|
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Grotte du Châtaignier : la suite !!!! |
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