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Michel au fond du trou des Amoureux ... non, ça ne passe pas ! |
COMPTE
RENDU DES ACTIVITES DU CAMP DU 20 AU 28 AVRIL 2018
Tableau des présences
- Vendredi20 04Samedi21 04Dimanche22 04Lundi23 04Mardi24Mercredi25 04Jeudi26 04Vendredi27 04Samedi28 04Patrick CABROL/OOOOOOOO0/Antoine WINTERTON/OOO/Camille PRADINES/OOO/Eddie SERRE/OOOOOOO/Philippe JEANNARD/OOOOOOO/Patrick JOUFFRET/OOOOOO/Marlene JOUFFRET/OOOOOO/Michel SOUVERVILLE/OOOO/Jean-Marc APERS/OOOO/Jean BOURRELY/OOOOOOOOAlina/OOO/OChristian SCOTTOOOO/Camille SCOTTOOOO/Bernard BALDACCHINOOOO/Pascal HERNANDES/O/OMichel BERBIGEO
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Camille sortant du trou des Cocotiers. |
O/ : départ
après le déjeuner
A la suite de notre camp
de février 2018 qui s’était terminé dans 15 à 20 cm de neige,
nous avons programmé un nouveau camp du 20 au 28 avril qui a profité
d’un bon ensoleillement ! La sous-préfecture de Béziers nous
a aussi accordé une autorisation de travaux en site classé par
courrier du 19 avril ce qui nous permet d’avancer dans cet espace
protégé.
Pour cette seconde
période de travail du SCMNE nous avons totalisé la présence de
16 participants et de 60 journées d’activités, ce qui est
très bien. Il est vrai qu’avec 25 membres inscrits en 2018, plus
une dizaine de sympathisants réguliers et actifs, dont beaucoup sont
motivés par la désobstruction, le SCMNE doit pouvoir bien
avancer !!!
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Trou des Cocotiers : " la galerie est large comme çà !!" |
VENDREDI 20 AVRIL :
Participants 3 avec
Patrick Cabrol, Antoine Winterton, Camille Pradines et Pascal
Hernandes
Les premiers participants
arrivent à 10 heures au local, déchargements de affaires, puis
installation et départ pour les courses à St Pons. Nous revenons
bien chargés. Pascal nous rejoint pour la journée à 14H.
L’après-midi :
petite mise en condition à Ponderach pour Antoine, Camille et
Pascal, pendant que Patrick range les affaires et fait quelques
courses de matériel pour le camp.
En fin d’après-midi
nous allons tous à la petite grotte de la Roubillade située sous
l’entrée de la Rivière Morte. Pascal a repéré cette cavité en
se promenant dans la montagne, il voulait savoir ce qu’il y avait
dedans et ne voulait pas y aller seul. En fait cette cavité est
connue depuis fort longtemps. Elle a été découverte par Claude
Raynaud et son équipe lors des explorations de la Rivière Morte en
1957. La topographie en a été refaite par Jean Bourelly le 23 aout
2016.
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Un grand moment de bonheur : une bière devant le feu de cheminée. |
Nous allons voir les
propriétaires des parcelles sur lesquelles nous allons travailler et
visite à la décharge de St Pons pour faire de la place au local.
SAMEDI MIDI :
Arrivée de Eddie,
Philippe, Michel, Jean-Marc, Patrick J et Marlène : le local
s’anime vite avec ces retrouvailles. Premier repas ensemble, bien
animé comme il se doit, on a tant de choses à se dire !
SAMEDI APRES-MIDI 21
AVRIL :
Nous formons trois
équipes :
. Trou des Amoureux avec
Patrick C, Antoine et Camille
. Trou des Cocotiers avec
Michel, Jean-Marc et Patrick J.
. Trou Eddie avec Eddie
et Philippe, rejoints par Jean et Alina
Au Trou des Amoureux,
nous finissons de vider ce qui part facilement au piochon, puis nous
élargissons un peu les bords au burineur afin de pouvoir se mouvoir
plus facilement. En fin de journée nous avons dégagé tout ce qui
était facile à dégager. Au fond on observe un orifice de la taille
du poing par où circule un léger courant d’air. Nous avons trop
de travail et reprendrons ce trou plus tard.
Au trou des Cocotiers,
au fond d’un petit puis de 2 mètres une galerie déclive part vers
l’ouest. Nous enlevons tous les blocs qui obstruent le passage,
nous travaillons au burineur à l’éclateur de roche mais rien n’y
fait. Nous voyons de l’espace derrière le passage étroit mais il
résiste, il faut revenir demain.
Au Trou Eddie,
nous passons l’endoscope dans les deux fissures qui nous
permettraient d’envisager l’avenir. Dans les deux nous avons un
bon courant d’air et il est évident qu’il y a une suite à
trouver. Toutefois les deux orifices présentent des risques au
niveau éboulement. Il faut sécuriser avant d’entamer des travaux.
C’est ce que nous allons entreprendre dès que possible. Une fois
ce travail effectué Eddie, Philippe, Jean et Alina ont plié les
affaires et sont allés faire des observations avec l’endoscope sur
d’autres entrées très étroites, avec courant d’air. Ils
s’attardent alors sur un orifice qu’ils agrandissent un peu sans
beaucoup d’outils. Il faudra revenir demain, ce trou n’a pas de
nom à cet instant.
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Entrée de la grotte du Châtaignier. |
Nous formons deux
équipes : (10 personnes)
. Trou des Cocotiers :
Patrick C, Michel, Jean-Marc, Antoine et Camille P..
. Trou sans nom :
Eddie, Philippe, Patrick J. Jean et Alina
Au trou des Cocotiers
nous reprenons le travail contre l’étroiture et cette fois ci elle
ne résiste pas trop longtemps. Nous trouvons derrière une petite
descente qui réclame une corde pour remonter, en bas on est dans une
petite salle où on se tient bien débout, mais pas de suite sans
travail. Sur le côté on voit une suite possible dans un
inter-strate avec un léger courant d’air. Largeur 20 cm... Cavité
bien placée, nous reviendrons plus tard... A noter que les sangliers
ont profité de la nuit pour remuer tout ce que nous avons sorti de
la cavité. Il est vrai qu’il y avait quelques vers de terre et
autres festins qu’ils n’ont pas laissé passer, moralité :
pas la peine de ranger les cailloux cela ne leur plait pas… Il faut
de bons vieux clapas qu’ils vont encore remuer ensuite !!!
Il nous restait deux
heures devant nous alors nous avons pris la voiture et somme partis
faire une séance de prospection au-dessus de la grotte de
Roquebleue. Cela n’a rien donné de plus que ce que nous
connaissions déjà. Il faudra continuer ailleurs, nous verrons cela
en fin de semaine.
Trou sans nom :
Nous pourrions l’appeler « Nome » qui signifie « No
Name » dans la petite ville d’Alaska de 3500 habitants,
située dans le détroit de Béring. Nous reprenons les travaux de la
veille. Après une sérieuse séance au burineur et aux éclateurs
l’équipe arrive à se frayer un petit espace entre deux strates.
Ce n’est pas large mais on peut s’allonger et travailler. La
roche résiste bien. Les géologues qui disent que le calcaire est
une roche tendre ne sont pas venus travailler dans les calcaires du
St Ponais !!!
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Entrée du trou Dyson a sa découverte. |
Antoine et Camile nous
quittent après le repas car les cours reprennent à la fac le
lendemain matin.
Nous continuons avec deux
équipes (Huit personnes)
. Grotte du Châtaigner
avec Michel, Jean-Marc, Jean et Alina
. Trou sans nom avec
Eddie, Philippe, Patrick J et Patrick C.
Trou du Châtaigner :
Nous avons tenté d’élargir les « chatières infernales »
qui barrent les passages. On se demande comment Denis et son équipe
sont passés lors de la découverte. Ils devaient être bien plus
minces en 1977. Aujourd’hui Matthias semble être le seul à passer
là-dedans. Il faut faire de la place ! C’est ce qui a été
entrepris par cette équipe de quatre mais il faudra poursuivre.
« Trou sans
nom » : Les éclateurs fonctionnent à plein régime,
il faut même planter un goujon dans un bloc et le tirer en force
pour le sortir du fond du trou, mais cela marche bien. En fin
d’après-midi nous pénétrons de 5 m dans la montagne, arrêt sur
courant d’air et des éboulis, un de plus !!! Cette cavité sera
poursuivie dès que possible, après stabilisation de son terminus ou
bien en creusant par-dessus afin de retrouver une zone plus
tranquille mais nous ne l’abandonnons pas.
Au retour et sur cette
nouvelle petite déconvenue, les copains ne veulent pas s’avouer
vaincu et décident de faire une petite prospection de confort. Ils
repartent alors sur les traces de ce que nous avions entamé à
Pâques 2017. Ils découvrent alors un petit trou de 15 cm qui n’est
pas souffleurs mais « aspirateur ». Il est décidé d’y
revenir le lendemain pour jeter un œil complémentaire, pour
aujourd’hui ce sera le trou de l’Aspirateur.
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Trou Dyson : Eddie passe le premier ! |
Nous formons deux
équipes :
. Grotte de l’Aspirateur
avec Eddie, Philipe et Patrick C.
. Grotte de la Rivière
Morte avec Jean, Jean-Marc, Michel S., Patrick J.
A la grotte de
l’Aspirateur le travail à l’entrée. Nous devons en premier
enlever les feuilles et autres branchages qui obstruent le passage.
Ensuite on s’attaque à la terre, puis au cailloutis avant de
trouver des blocs dont certains ont une bonne taille. Nous sommes
obligés de déblayer large afin de pouvoir bouger et tirer les blocs
bien coincés. A force de barre à mine, de burineur et d’éclateur
nous réussissons à nous faufiler dans l’entrée. La voute est
basse, un mètre, les parois rapprochées, 50 centimètres mais après
avoir nettoyé le sol nous pouvons avancer de 2 ou 3 mètres. Il y a
de l’air, ça continue mais il va falloir bosser, une fois de plus,
mais nous ne sommes pas démoralisés, loin de là.
A la grotte de la
Rivière Morte, c’est la fin de la période protection des
chauves-souris qui hibernent ici, principalement les espèces
suivantes Myotis blythii, Myosis emarginatus, Myotis myotis,
Rhinolophus ferrumequinum, Rhinolophus hipposideros. Le club
s’interdit toute visite de ce site Natura 2000 entre le 1 novembre
et le 15 avril. Nous demandons à tous nos amis de bien respecter ces
dates. Nos visites en été ne nous ont pas permis d’observer de
reproduction. Elles semblent absentes de ce site à cette période.
L’équipe descend et
trouve une rivière bien pleine ne permettant pas de se promener dans
les parties aval (on s’y attendait un peu !) Tout le monde va
donc vers l’amont, monte dans les galeries supérieures, prend
quelques photos et ressort.
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Trou Dyson : galerie d'entrée, ça passe juste. |
Nous formons à nouveau
deux équipes avec 8 personnes :
. Grotte de l’Aspirateur
avec Eddie, Philippe, Patrick J et Patrick C
. Grotte du Châtaigner
avec Jean, Jean-Marc, Michel S, Alina
A la grotte de
l’Aspirateur nous découvrons près de l’entrée une petite
salle que nous aménageons afin de pouvoir se retourner et
travailler, pendant que nous peaufinons l’accès afin de le rendre
plus commode, car entrer dans la grotte la tête en bas n’est pas
un plaisir !
A la grotte du
Châtaigner nous restons deux heures à poursuivre le travail
contre les chatières puis le groupe se transporte sur la grotte de
l’Aspirateur pour voir ce qu’il en est. Manifestement ce n’est
pas aujourd’hui que l’on va passer mais l’espoir fait
vivre !
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Trou Hoover au moment de sa découverte. |
Mardi MATIN 24 AVRIL :
Michel Berbigé nous
rejoint pour cette journée
Nous avons beaucoup de
travail en surface, aujourd’hui, c’est « prospection
générale ». Les cavités où nous travaillons ne donnent rien
malgré notre acharnement depuis plusieurs années, alors nous avons
décidé de continuer les prospections sur toutes les montagnes entre
St Pons et Courniou et même de reprendre certaines avec des yeux
neufs. Nous partons tous à la « chasse aux trous » !
Les groupes de deux ou
trois se séparent et nous nous retrouvons tous à midi pour l’apéro
afin de partager les nouvelles.
Nous avons retrouvé de
veilles connaissances et puis des petites nouvelles que nous avons
surtout baptisées de noms de marques d’aspirateurs car elles
aspiraient toutes plus ou moins. Nous leur donnerons un vrai nom plus
tard selon ce que nous découvrirons. Nous avons ainsi le trou Dyson,
le trou Hoover, le trou Moulinex etc… Nous avons aussi le « Trou
Larquet (Jean-Michel Larquet) dont le nom est dû à la contraction
des prénoms « Jean » et « Michel » qui l’ont
découvert ensemble ! Bref on s’occupe bien, nous verrons plus
tard pour des noms plus sérieux !
MARDI APRES-MIDI 24
AVRIL :
Mardi après-midi Michel
et Jean-Marc repartent vers de nouveaux horizons.
Nous faisons à nouveau
deux équipes :
. La première équipe va
faire le tour des trous vus de matin afin d’y passer l’endoscope
et voir ce que cela dit, avec Eddie, Michel B. et Philippe.
. La deuxième équipe
préfère directement la désobstruction d’un orifice de 15 cm de
diamètre qui aspire lui aussi, le « Trou Hoover ».
La première équipe avec
Eddie, Michel et Philippe se spécialise donc dans l’endoscopie
de la terre et ramène quelques résultats positifs. La grotte
Larquet est à revoir, il y a de l’espoir. Le Trou Hoover semble
présenter un conduit (très) étroit sur trois mètres en descendant
mais il se poursuit quand même. Le trou Moulinex, malgré son
étroitesse, laisse entrevoir une suite possible après deux mètres
de travaux et un coude sévère. Ce n’est pas le Pérou avec tous
ces résultats mais on est plein de motivation…
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Trou Hoover : on prend la température de la cavité avec l'endoscope avant de continuer la désob. |
La deuxième équipe
s’affaire sur le Trou Hoover et remue pas mal de cailloux avant de
s’attaquer à de gros blocs qu’il faut tailler aux éclateurs. On
ne progresse pas assez vite à notre gout car un gros bloc semble
obstruer ce qui pourrait être la tête d’un petit puits où on
semble voir sur 2 ou trois mètres mais c’est très étroit. Il
faudra reprendre demain matin.
MERCREDI MATIN 25
AVRIL :
Nous faisons à nouveau
deux équipes :
. La première équipe va
désobstruer au Trou Dyson avec Eddie et Patrick J.,
. La deuxième équipe va
désobturer au Trou Hoover avec Jean, Patrick C, Philippe
Les aspirateurs ronflent
cet après-midi !
Au Trou Dyson le travail
est difficile car c’est étroit et le virage est très serré.
Derrière on voit un peu de vide, la galerie est bien karstifiée et
se dirige en pleine montagne. On sent un petit courant d’air froid…
motivant !
Au trou Hoover, le
travail se poursuit, on arrache bloc après bloc. L’entrée qui
mesurait moins de 20 cm fait maintenant un bon mètre carré et prend
une allure bien sympathique….. léger courant d’air… là aussi
c’est motivant. Mais il faut descendre !
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Trou Hoover : Philippe une demi-journée plus tard. |
Après ces retrouvailles
et un bon repas nous formons les trois équipes de l’après-midi.
. La première équipe va
désobstruer au Trou Dyson avec Eddie et Patrick J.,
. La deuxième équipe va
désobturer au Trou Hoover avec Jean, Philippe et Bernard
. La troisième équipe
va désobstruer le Trou Moulinex avec Patrick C, Camille et
Christian.
Au trou Dyson, le travail
se poursuit difficilement et les copains ressortent exténués le
soir pour une avancée de 50 cm à 1 mètre seulement... mais ça
continue !
Au trou Hoover, la
descente entre les blocs se poursuit intensément en élargissant peu
à peu tout ce qui gêne, mais le travail n’est pas facile, les
blocs coincés de bonne taille gênent la progression. Toutefois en
fin d’après-midi, premier espoir : le puits d’entrée qui
mesure 3 mètres est descendu. Au fond une galerie basse et large se
dirige vers l’Est, mais la progression est bloquée par les
remplissages. Nous verrons demain la suite.
Au trou Moulinex, il est
évident que nous partons pour une longue désobstruction. Nous
commençons par élargir au fond afin de pouvoir se tourner, il
faudra encore enlever beaucoup de seaux !!!
A notre retour au local
nous voyons les voisins qui arrivent rapidement vers nous. Ils nous
apprennent que Marlène a été emmené par les pompiers à l’hôpital
de Castres-Mazamet. Elle était calmement en train de faire de la
couture assise sur une chaise devant le local lorsqu’elle a voulu
faire des folies de son corps pour récupérer une aiguille tombée
au sol. Elle s’est déboîtée la rotule du fémur. Comme quoi il
est plus dangereux de faire de la couture que de la spéléo, mais
arrêtera-t-elle la couture ! A 21H elle nous téléphone afin
que l’on vienne la rechercher après une petite anesthésie pour
tout lui remettre en place. Moral au beau fixe après son arrivée au
local... tout va bien !
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Trou Dyson : Jean |
Deux groupes partent sur
le terrain :
. La première équipe va
au Trou Moulinex avec Patrick Camille Christian
. La seconde équipe va
au Trou Hoover avec Jean, Bernard, Eddie et Philippe
Patrick et Marlène
partent. Marlène doit vraiment vérifier si elle continue la couture
mais ils ont déjà prévu de revenir rapidement à Courniou,
alors…………..
Au trou Moulinex, la
première équipe avance de 50 cm environ mais surtout approfondi la
position car c’est difficile de travailler avec un plafond à 40
cm. Pari tenu, à l’arrêt des travaux à 13 heures 64 seaux de
terre et de petits cailloux ont été ressorti et nous allons pouvoir
attaquer les choses plus sérieuses. La série des seaux qui sortent
se poursuit mais l’avancée est lente. Pas de burineur, pas
d’éclateur, rien sauf le piochon et la force des bras. Camille est
heureuse, elle se régale à creuser et à sortir les cailloutis
divers. Une vraie pro, avec sourire et conviction !
A la grotte Hoover,
l’équipe s’est engagée à faire un chenal dans le remplissage
afin de voir s’il y a quelque chose au bout. En fin de matinée,
ils passent ce passage bas et avancent de 100 m environ. Ils trouvent
enfin une partie de galerie où on peut se mettre debout avec des
concrétions classiques, le tout séparé par des passages plus
étroits et bas. Il faut continuer à désobstruer
Christian au trou Moulinex - les premiers seaux sont les plus faciles !!! |
Nous faisons à nouveau
plusieurs groupes :
. Grotte de Ponderach
avec Jean, Bernard, Camille, Christian et Pascal ainsi que les
petites enfants de Gérard Poirion de Courniou
. Trou Hoover avec Eddie,
Philippe et Jean
. Courses avec Patrick.
IL faut bien penser à nourrir tout le monde !
A Ponderach l’équipe
fait la ballade classique du réseau inférieur. C’est le baptême
spéléo pour Camille
Au Trou Hoover, le
premier travail consiste à élargir les passages, car il faut être
maigre à certains endroits.
Trou Moulinex : Jean essai de forcer mais ce sera pour plus tard ! |
Une nouvelle fois nous
avons deux équipes sur le terrain
. Trou Moulinex avec
Patrick C, Camille et Christian
. Trou Hoover avec Jean,
Philippe, Eddie, Bernard continuent la désobstruction sur deux
galeries à la fois, deux promesses de continuation mais il faut
creuser.
Jean commence une
topographie afin de voir comment s’organise la cavité.
VENDREDI APRES MIDI 27
AVRIL :
Afin de préparer le
prochain camp nous faisons une grosse après midi de prospection
depuis la grotte des Caussades jusqu’au hameau de Scio. Les
prospections de début 2017 autour de la grotte du Sanglier nous a
laissé sur notre faim alors nous allons tout reprendre depuis le
fond de la vallée jusqu’au sommet. Les voitures sont laissée à
Scio pour le retour direct au local
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A l'entrée de Pont d'Arach |
C’est le jour du départ
alors nous commençons par ranger nos affaires et charger ce qui peut
être chargé de suite dans les voitures. A 10 heures nous partons à
la grotte de la Devèze (La Fileuse de Ver) afin de réaliser
quelques photos de la partie touristique pour les besoins de la
mairie de Courniou.
De retour au local c’est
le repas avec la mise en place des projets du prochain camp de cet
été car il est évident que nous allons vite nous retrouver.
Vaisselle, nettoyage du
local et départ de l’ensemble de l’équipe.
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Trou Moulinex : le petit lutin Camille en plein travail. |
LUNDI 30 AVRIL 2018
Participant : Jean
Au trou Hoover :
suite de la topographie. Quelques dizaines de mètres de galeries de
plus sont maintenant topographiées. Il restera à faire une zone
plus complexe, qui nécessitera deux personnes.
DIMANCHE 6 MAI 2018
Participants 3 avec Jean,
Alina et Matthias
Jean fait faire le tour à
Isabelle et Matthias des nouveautés découvertes durant le camp :
en extérieur d’abord, puis plus en détail dans le Trou Hoover. La
liste des travaux restant à faire sur toutes les cavités du camp
est longue, beaucoup de boulot pour notre prochain séjour !
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Repas du dernier soir au local. |
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Philippe au trou Sans Nom : "ça passe pas mais je suis heureux !" |
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Trou Sans Nom : c'est tellement broyé que la barre à mine casse tout. |
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Travail aux éclateurs au Trou Sans Nom. |
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Trou Sans Nom : c'est quand l'apéro ? |
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Trou Sans Nom : Eddie et Jean Marc. |
Trou Hoover : Michel a la torture. |
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Trou Hoover : le puits d'entrée de 3m. |
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Et c'est là qu'il faut aller !!! |
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On peut enfin se redresser. |
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Eddie est enfin debout !!! |
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Ça continue !!! |
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